- Leah Callon-Butler défend l’adoption de la blockchain pour autonomiser les communautés marginalisées par le biais d’initiatives d’inclusion financière et de propriété numérique.
- En tant que directrice d’Emfarsis, Leah explore les solutions Web3, en collaborant avec des organisations mondiales pour favoriser un accès équitable aux outils financiers.
Leah Callon-Butler, une entrepreneuse australienne, a eu une carrière brillante et variée avant de découvrir sa passion pour la blockchain. Leah a travaillé dans les médias et les espaces technologiques pendant de nombreuses années avant de rejoindre l’entreprise. Responsable de la croissance chez JobGetter, le plus grand réseau indépendant d’emploi en ligne d’Australie, elle a appliqué l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle pour améliorer les perspectives d’emploi des candidats.
Elle a également dirigé plusieurs entreprises, dont une agence de publicité sensorielle et des projets mettant l’accent sur l’entrepreneuriat social et les modèles d’entreprise « profit for purpose ».
Leah Callon-Butler : Le voyage vers la blockchain
Leah a commencé à s’intéresser à la technologie blockchain après avoir découvert la méthode utilisée par ses voisins pour échanger de l’énergie solaire. Ses fantasmes sur les différentes utilisations de la technologie du grand livre distribué sont devenus de plus en plus vifs, et elle s’est attachée à identifier la bonne.
Sa rencontre avec Reuben Coppa, qui deviendra son cofondateur, l’a familiarisée avec le commerce pour adultes. Ce secteur connaît de nombreuses difficultés liées à la stigmatisation sociale et à la réglementation, même s’il a une longue histoire. De plus, Leah pense que la technologie cryptographique peut résoudre le problème des préjugés institutionnels qui empêchent les entreprises du secteur d’obtenir des services bancaires traditionnels.
Fondation d’Emfarsis et contributions à l’industrie de la blockchain
Leah et ses collègues ont lancé Emfarsis en 2018 en tant que société d’investissement et de conseil, avec un œil sur l’innovation Web3 pour l’impact social. Emfarsis, sous sa direction, a exploré la façon dont la technologie blockchain pourrait donner du pouvoir aux groupes défavorisés en travaillant avec des entreprises telles que Women’s World Banking et l’Alliance pour l’inclusion financière.
Leah donne également son avis sur l’évolution de l’espace cryptographique dans CoinDesk en tant que chroniqueuse. Elle est également membre du conseil d’administration de la Blockchain Game Alliance, qui préconise l’intégration de la blockchain dans le secteur des jeux afin de soutenir la propriété numérique réelle.
Dévouement à l’inclusion financière et à l’autonomisation des communautés
Leah est la principale voix dans les débats sur la capacité de la blockchain à propulser la croissance économique. Elle a écrit et raconté le mini-documentaire primé « Play-to-Earn : NFT Gaming in the Philippines », qui étudie comment les jeux basés sur la blockchain peuvent générer des revenus dans les pays sous-développés.
Leah propose une analyse perspicace de l’interaction entre la technologie, la société et la culture qui façonne les connaissances du public et les questions politiques autour de la blockchain via son blog régulier sur CoinDesk.
Mouvements récents et perspectives d’avenir
Récemment, Leah s’est concentrée sur les communications stratégiques dans l’arène Web3. Elle a dirigé l’opinion publique et a produi du matériel pour de grands événements tels que le Play Summit organisé par Yield Guild Games et le Philippine Web3 Festival.
Elle cherche à utiliser la technologie blockchain pour résoudre les disparités financières structurelles, favorisant ainsi une économie numérique plus inclusive et plus juste. Leah pense que la technologie peut être un excellent instrument pour l’autonomisation économique mondiale si la coopération et la créativité sont au rendez-vous.
Le parcours de Leah Callon-Butler montre sa grande volonté d’utiliser la technologie blockchain comme un outil pour le bien social. En particulier en permettant aux régions défavorisées de bénéficier d’idées financières créatives.