- Thomas France a cofondé Ledger pour améliorer la sécurité des crypto-monnaies, en créant des portefeuilles matériels qui protègent les actifs numériques contre les cyber-menaces.
- Après Ledger, Thomas a fondé Cygni Capital, qui se concentre sur l’investissement dans les technologies numériques et les innovations financières du futur.
Thomas France n’aurait probablement jamais imaginé que sa vie tournerait autour de l’industrie des cryptomonnaies. Avant de se faire connaître, il a commencé sa carrière au Boston Consulting Group, où il s’est familiarisé avec la stratégie d’entreprise et la dynamique des marchés mondiaux. Cependant, le conseil n’était pas sa vocation. L’envie de créer quelque chose de nouveau l’a conduit vers le monde des startups.
En 2011, il a fondé Prixing, un logiciel d’achat qui permet aux consommateurs d’obtenir numériquement des catalogues de produits, de rechercher des coupons et de comparer les prix. L’idée est si populaire qu’une autre entreprise finit par la racheter en 2013. Ce succès a marqué le début du parcours de Thomas en tant qu’entrepreneur qui ne se contente pas de suivre les tendances, mais les crée également.
Thomas France : Du shopping numérique à l’innovation blockchain
Thomas a commencé à se passionner pour la technologie blockchain et les crypto-monnaies, qui commençaient à susciter de l’intérêt à l’époque, après avoir quitté le monde du shopping numérique. En 2014, il a lancé La Maison du Bitcoin, le premier site de vente de bitcoins en France, avec de nombreux collègues. Ce lieu sert aux aficionados des crypto-monnaies pour l’apprentissage, le trading et les projets de groupe, en plus d’un forum de débat.
Mais derrière l’expansion du bitcoin se cache un problème majeur non résolu : la sécurité. Des défaillances techniques ou des cyberattaques ont fait perdre à de nombreuses personnes leurs actifs. Thomas a considéré cette lacune comme une chance fantastique d’offrir une option plus sûre.
Ledger innove en matière de protection des crypto-monnaies
La même année, Thomas a cofondé Ledger, une entreprise spécialisée dans le développement de portefeuilles matériels de crypto-monnaie. Le Ledger Nano S, son premier produit, est à la pointe de l’innovation dans le secteur des cryptomonnaies. Ledger est rapidement devenu le premier choix des consommateurs et des investisseurs d’actifs numériques dans le monde entier grâce à sa technologie de sécurité basée sur une puce, qui résiste aux cyberattaques.
Outre la vente de produits, Ledger met en place un écosystème de sécurité plus large. Thomas et son équipe continuent d’innover en ajoutant de nouvelles fonctionnalités. Ils continuent d’apporter un souffle nouveau en réalisant des audits de sécurité et en travaillant avec la communauté. Ainsi, ils s’assurent que leurs appareils restent robustes face aux menaces les plus récentes.
Façonner l’avenir de la finance avec Cygni Capital
Après des années chez Ledger, Thomas passe à l’étape suivante. Avec Cygni Capital, il mise sur l’innovation numérique et la finance. En tant qu’associé général, il cherche des idées et des entreprises capables de révolutionner la banque et la technologie.
Bien qu’éloigné de Ledger, il reste impliqué dans l’écosystème crypto. Actif sur les réseaux sociaux, il partage ses analyses et expériences, offrant un regard éclairé sur les évolutions du secteur et les opportunités à venir.
Inspirer la prochaine génération d’innovateurs
Le parcours de Thomas France, qui est passé de consultant à informaticien puis à pionnier de la sécurité cryptographique, prouve qu’une simple idée peut conduire à des changements majeurs. De Prixing à Ledger, il ne cesse de démontrer que l’innovation consiste à résoudre des problèmes concrets auxquels les gens sont confrontés et à produire quelque chose de nouveau.
L’histoire de Thomas rappelle à ceux qui souhaitent suivre ses traces que, dans un environnement en constante évolution, le courage d’essayer et une vision claire peuvent être les secrets de la réussite. Bien que récent, le secteur des crypto-monnaies a un potentiel prometteur grâce à quelqu’un comme Thomas France qui le dirige.
