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  • BIOTA e.V., dont le principal projet actuel est Deposy basé à IOTA, a conclu une coopération avec eGreen Limited.
  • L’objectif de la coopération est d’établir des partenariats industriels et des systèmes de test en Grande-Bretagne et au Chili.

Deposy est un projet basé sur IOTA, qui est développé par l’association allemande BIOTA e.V. et dont nous, au CNF, avons déjà fait état à plusieurs reprises. La BIOTA a développé un système de dépôt qui vise à créer une incitation à la séparation des déchets. Une consigne supplémentaire est perçue lors de l’achat d’un produit qui possède un code QR spécial. Pour cela, le Tangle IOTA sert d’instance centrale pour le traitement et le stockage des données.

Le projet Deposy, basé sur IOTA, vise à s’étendre au Royaume-Uni et au Chili

Comme BIOTA e.V. l’a annoncé vendredi dernier, la société et eGreen Limited ont conclu une coopération pour promouvoir l’introduction de Deposy au Royaume-Uni et au Chili. À cette fin, les deux partenaires vont explorer le marché dans les deux pays et « convenir de partenariats industriels et établir des systèmes de test ».

EGreen Limited est une société britannique qui possède une filiale chilienne, eGreen Chile Spa, et qui s’est engagée à développer et à mettre en œuvre des technologies pour capturer l’empreinte carbone des grandes entreprises et à développer des modèles commerciaux pour réduire et compenser ces émissions. En raison de sa « vaste expérience dans la mise en œuvre de technologies environnementales innovantes » et de sa connaissance des marchés et des acteurs du marché au Royaume-Uni et au Chili, eGreen Limited est un « partenaire idéal » pour faire passer Deposy au niveau supérieur, selon BIOTA e. V.

Selon le billet de blog, Deposy peut apporter de grands avantages tant au Royaume-Uni qu’au Chili. Le Royaume-Uni a des exigences de recyclage similaires à celles de l’Allemagne et de l’Europe, où les entreprises ont la responsabilité de promouvoir le recyclage. Selon BIOTA e. V., il en va de même au Chili, où une nouvelle loi sur la responsabilité environnementale des fabricants a été adoptée.

En outre, un certain nombre de règles spécifiques et de quotas de recyclage sont actuellement en cours de discussion au Chili, les entreprises étant déjà obligées de recycler un pourcentage de leurs plastiques, verre, papier et produits électroniques. Les deux pays sont donc prédestinés à introduire le concept de BIOTA de collecte des déchets plastiques et des matériaux rares directement auprès du consommateur.

Selon BIOTA e. V., l’idée sous-jacente est « d’inciter le consommateur final à collecter et à réduire les coûts de recyclage en séparant les déchets selon leur type directement dans la machine ou chez l’entreprise de recyclage. De cette manière, davantage de « déchets de valeur » sont ajoutés au processus de recyclage. Le système de consigne innovant Deposy peut donc à l’avenir, en coopération avec l’industrie, contribuer à mieux maintenir et contrôler les taux de recyclage ».

Markus Gebhardt, président du conseil d’administration de BIOTA e.V., a déclaré ce qui suit à propos du partenariat avec eGreen:

La protection de l’environnement et du climat sont des problèmes mondiaux et doivent être envisagés globalement. C’est pourquoi la coopération avec eGreen Limited est si précieuse pour avoir une vue directe sur d’autres marchés prometteurs.

Le directeur général de eGreen Limited, Andres Gonzalez, voit un énorme potentiel, notamment pour le Chili:

Au Chili en particulier, en raison de la nouvelle législation, de nombreuses entreprises sont confrontées à la tâche de mettre en place de nouveaux processus dans le cadre de l’économie circulaire. Deposy peut être une approche permettant d’impliquer positivement la population dans le processus et de documenter le recyclage de manière traçable.

Jake Simmons est un passionné des crypto-monnaies depuis 2016, et depuis qu'il a entendu parler de Bitcoin et de la technologie de bockchain, il s'intéresse à ce sujet chaque jour. Au-delà des crypto-monnaies, Jake a étudié l'informatique et a travaillé pendant 2 ans pour une startup dans le secteur de la blockchain. Au CNF, il est responsable des questions techniques. Son but est de rendre le monde conscient des crypto-monnaies d'une manière simple et compréhensible.

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